Les entreprises françaises sont fortement mobilisées depuis de nombreuses années pour concourir à l’objectif d’éradication du travail forcé et accueillent favorablement la proposition de règlement de la Commission européenne en ce sens.
Elles estiment cependant que cette proposition devrait davantage tenir compte des réalités opérationnelles des entreprises et assurer une mise en œuvre cohérente au sein de l’UE. Il convient notamment de fournir une réponse graduée et proportionnée, en lien avec la proposition de directive sur le devoir de vigilance (CS3D), avant toute interdiction ou retrait de produits sur le marché.